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La subvention de la conservation du Madagascar
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La subvention de la conservation du Madagascar. | Un plan de conservaiton pour le Madagascar
Les programmes de conservation ne sont pas gratuits. Le Madagascar reçoit déjà une aide considérable à travers des donations d'organisations gouvernementales et non-gouvernementales, mais les initiatives proposées pourraient exiger des sources de revenue plus créatives pour avoir un vrai succès. Les allocations d'argent ne dureront pas pour toujours et augmenteront la dépendance des habitants du Madagascar. Voici quelques stratégies de conservation à considérer;
L'écotourisme
L'écotourisme peut être subventionner à travers les tarifs d'entrée au parc, l'emploie des locaux en tant que guides et dans le domaine du service (hôtels, restaurant, conducteurs, bateliers, porteurs, cuisinier) et les secteurs d'artisanat.
Frais de Bio-prospection
Le Madagascar peut obtenir du revenue en permettant aux scientifique de développer les produits des plantes et des espèces animales de l'île. Le pionnier dans la région est le Costa Rica qui est entré dans un accord avec une compagnie pharmacologique américaine, Merck, pour étudier les plantes pour leur potentielle pharmacologique. Sous cet accord, une portion des revenues commerciales ira au gouvernement du Costa Rica qui lui-même a garanti qu'une portion du revenue serait mise de coté pour les projets de conservation. De même, en 2001, Givaudan, une compagnie de parfum Suisse, a envoyé une équipe au Madagascar pour étudier de nouvelles odeurs et go˚ts exotiques. Après leurs études, les chercheurs Givaudan ont 'reconstitué' 40 aromes qui pourraient être utiliser pour des produit commerciaux. La compagnie a consenti à partager une portion du revenue des produits avec les communautés locales à travers des projets de conservation et des initiatives de développement.
Les Crédits du carbone
Pour l'allocation d'une partie de la foret pour la diminution du carbone dans l'atmosphère, des pays en développement comme le Madagascar peuvent recevoir des payements de compagnies industrielles qui cherchent à diminuer leurs émissions de carbone. Ces programmes de diminution d'émission de carbone sont populaires dans beaucoup de cercles puisqu'ils 'offrent un mécanisme pour motiver les pays riches à payer pour la conservation forestière qui surpasse les frontières nationales.' En effet, de tels programmes promouvent 'le transfert de revenues des pays industrialisés au pays tropiques comme une transaction commerciale plutôt qu'un acte de charité' (Costa, P.M. "Tropical forestry practices for carbon sequestration: a review and case study from southeast Asia," Ambio Vol. 25 No. 4, June 1996).
Sponsorat d'entreprise
Les entreprises ont été un peu lentes à 'adopter' les parcs mais elles ont l'argent et un intérêt de marketing à regarder de plus près de tels plans. Voir dessous pour plus de détails sur un plan potentiel.
Le plan Linden-Lovejoy-Phillips
Une idée intéressante proposée par Eugene Linden, Thomas Lovejoy et J. Daniel Phillips pour les forets tropicales consiste en la division des régions naturelles en bloques et ensuite de solliciter des engagements de subvention de groupes environmentales internationaux, d'institutions de développement, d'entreprises et de d'autres donneurs crédibles. Il y aurait un procès d'enchères après lequel un groupe prendrait responsabilité pour le maintien de la foret dans chaque bloque du system forestier entière. Ce plan pourrait servir comme passage pour que les entreprises deviennent plus impliquées dans la conservation comme outil de relations publiques et de marketing. Un pourcentage pré-determiné du revenue serait mis dans une compagnie d'investissement pour que l'intérêt soit alloquer à la conservation et les programmes de développement viables.
Traduction par Claire Guehennoc
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